Enola Drysdell

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 08/02/2013

	IDENTITÉ Prénom : Enola NOM : Drysdell Âge : 21 Race : Humaine (possédée) Métier :
DESCRIPTION PHYSIQUE Enola, malgré son jeune âge, avait les traits durcis et un physique sec. D'apparence quelconque, elle portait ses cheveux châtains décolorés par le dur soleil d'été courts. Son visage à la mâchoire carré voyait sa dureté atténuée par les tâches de rousseurs qui parsemait ses pommettes et son nez. Ses jeux solitaires en extérieurs durant son enfance dû à sa nature garçonne et ses longues périodes de récolte pour récolter les restes des champs de bataille avaient façonnés sont apparence et lui avait donné un teint bruni et des mains usé par le travail. Elle portait des gants afin de masquer cela. En effet, elle possédait quelques rares traces de coquetterie. Quelques cicatrices parsemaient son bras gauche, vestiges d'un accident lors d'un attelage à l'aide d'un joug lors d'une démonstration d'outillage ancien lors de la fête annuelle de son village alors qu'elle avait 9ans. La bête d'habitude docile, était stressé par la présence d'autant de personnes autour d'elle. Elle avait fait un écart lors de la mise en place du joug, le sur joug avait alors écorché son épaule et une partie de son bras. Un gardait un souvenir cuisant du bois tourné et sculpté contre sa peau. Elle la dissimulait le plus souvent sous des vêtements à manches longues peu importe la saison. De la même manière que son haut, elle portait uniquement des pantalons de coupe ample et de tissu épais plus confortable dans son quotidien. Elle assumait peu ou pas son physique à cause des moqueries qu'elle subissait à l'orphelinat, son choix s'était dès lors porté sur une tenue pratique qu'esthétique.	DESCRIPTIONPSYCHO. De nature discrète et passive, elle préfère écouter plutôt qu'agir. La dureté de son visage est en contradiction avec son incapacité à faire les choix les plus durs et son manque d'aptitude à tenir fermement ses position envers et contre tout. En effet, l'éducation traditionnelle que les filles de l'orphelinat recevait leur apprenais l’obéissance avant toute chose. Elle n'a jamais réussi à s'habituer à la solitude que lui à imposer la vie de la ferme dans sa prime jeunesse. Dans la continuité, ses tentatives de socialisations avec les autres jeunes de l'orphelinat se sont toujours révélées infructueuses. Son côté garçonne rebutant les garçons et attirant les moqueries des filles.
HISTOIRE Née dans le Nord-ouest de Khodanska mais du côté sud de la frontière d’Azradikov au sein d'une famille de fermiers, elle passa sa prime jeunesse dans un petit village frontalier dont la vie était rythmée par les saisons, les récoltes et les quelques fêtes animant le village dont elle garde peu de souvenirs. Son père mourut il rendait visite à un de ses oncles vivant à Caelnittais, sa femme et sa fille n'étaient venues avec lui car le voyage aurait été trop rude pour elles. Elle avait 8 ans, son père qui aurait dû être parti pour seulement 2 semaines ne revint jamais. Des rumeurs de bandits courraient mais la véritable raison lui est toujours inconnue. La nouvelle tomba un vendredi, un chasseur était tombé sur le corps du moins ce qu'il en restait. Les années passant, les dettes s’accumulèrent sur le dos de sa mère, elles s’accumulèrent à telle point que ses créanciers se taillèrent eux-mêmes la part du lion en emmenant Enola. Elle fut vendue à un orphelinat qui élevait des humaines dans le but de les vendre à de riches vampires comme sources de nourriture ou tout autre usage à la discrétion du détenteur. Sa vie à l'orphelinat fut somme toute monotone, une routine rassurante et confortable en comparaison avec son ancienne vie. Cependant l'enfermement, les leçons de couture, de cuisine, les robes à dentelles, l'éducation basée sur le rabaissement des pensionnaires, et tutti quanti créaient un véritable cocon. Elles étaient hébergées jusqu'à l'âge de 20ans et mises en vente à partir de cette date. Son heure approchait, mais rien ne faisait d’elle un bien de bonne qualité : elle ne possédait ni le raffinement, ni la finesse ou l’élégance des autres pensionnaires. Elle avait amassé au fil des années « son trésor », qu'elle ne partagerait pour rien au monde. Ses plus belles pièces étaient une montre sans son bracelet, une pierre à amadou et un couteau qu’elle gardait précieusement sous une latte en dessous de son lit. Elle nourrissait l'espoir de partir à l'aventure et de découvrir de nombreuses contrées tels Baali ou Ephedais. Mais son univers se limitait pour le moment à l'orphelinat et ce que les fenêtres et le portail de l’orphelinat acceptait de dévoiler. Les derniers jours précédant sa vingtième année. Elle se savait incapable de subir et d’encaisser les horreurs qu’elle pourrait subir chez son hypothétique propriétaire. Sa jalousie pour les autres filles grossissait, elle enviait la valeur qu’on leur donnait et les meilleurs traitements qu’elles recevaient. Elle s'était plusieurs fois reprise à souhaiter avoir autant que les autres et détruire tout ce qu'elle ne pourrait obtenir. Son quotidien ses dernières semaines à l'orphelinat s'était en somme résumé à une jalousie et une appréhension dévorantes. Celui qu'entoure la flamme de la jalousie, celui-là en fin de compte, pareil au scorpion, tourne contre lui-même son dard empoisonné. //suite non-editée Le jour fatidique arriva, elle dut quitter l'internat. Tous les autres de sa générations étaient déjà parti, c'est donc sous les moqueries des plus jeunes qu'elle dut partir. Elle se réfugia les premiers jours dans son si cher abris mais elle avait fait peu de réserve et dut donc rapidement le quitter pour survivre. Chaque jour passant, une jalousie lui dévorait les entrailles pourquoi les autres avaient-ils le droit d'voir autant et elle si peu ? C'est en mendiant son chemin jusqu'à l'est de Caelnittais qu'elle croisa une bande de pilleurs, de profiteurs de guerre. Et c'est aussi ce jour-là que ça se manifesta pour la première fois. L'altercation fut de courte durée, ils étaient trois et à défaut de pouvoir faire fortune en la dépouillant du peu de bien qu'elle possédait, ils tentèrent de lui prendre le peu qu'il lui restait. L'un d'entre eux la dépouilla de sa montre et de son couteau, ses seuls possessions en somme. - Pourquoi lui prenait-on le peu qu'elle possédait et ne pouvait prendre aux autres ? pensa-t-elle. - Mais tu peux .. essayes ... prends ! Elle tendit le bras et attrapa le bras du voleur. A l'instant ou sa peau rentra en contact avec celle nue de son bras, il se raidit et quelques instants plus tard, sa carcasse desséchée tomba au sol. Pour la première fois, elle avait pris et elle n'était pas sur que cela lui plaise. Les deux pilleurs restant la supplièrent de les laisser et au lieu de les laisser, elle choisit d'embrasser leur carrière et leur vie. Elle n'avait en faîte guère le choix, ce qu'il lui restait de son dernier arrêt allait s’épuiser sous peu. Elle devint ainsi pilleuse et profiteuse de guerre entres autres choses. Ses deux compagnons de fortune sont dénommé Corbin Carter et Freddie Lynch. Son quotidien est désormais fait d'expédition pour ramasser et piller ce qu'il restait sur les champs de bataille et les villages abandonnés. Le reste du temps, elle campe aux abords d'Aedenais et y passe ses journées. Le ville basse lui est familière dû à son "travail".	LIENS & AUTRES - Elamros Terry - Juliette Weyer, une connaissance purement professionnelle. Elle est sa première acheteuse de biens. - Luis d’Esteguardia, de même que Juliette Weyer, une relation purement professionnelle pour la vente de biens dont la valeur est grande. Depuis l'accident, elle évite soigneusement les contacts physiques directs. Son manque de sociabilité et de compétences dans le domaine, on fait qu'elle ne touche pas à l'alcool et aux drogues personnes n'ayant voulu partagé de moments avec elle dans un autre but que professionnel. Nom de l'avatar utilisé : N/A , lien originel : http://reiv.cgsociety.org/gallery/512197/

PS : Désolé pour les fautes en avance, j'ai survolé la relecture dédiée aux fautes pour pouvoir le poster le plus tôt possible au vu de mon retard deja grand par rapport à la date que j'avais fourni à Elamros.
Edit: J'ai commencé à edit mon post. Je continuerais cette nuit ou demain. Merci du ''feedback''.
Edit 2: Histoire finie (en théorie), rajout de liens avec divers personnages.

Je vais déjà passer faire un tour vite fait sur tout ça, et je laisserais la boss me corriger/rajouter des trucs si besoin.

Déjà, pour les trucs chiants :

- Les tailles des images pour les avatars, c'est du 200x320. Faudra redimensionner tout ça.
- C'est Enola ou Elona le nom du perso ? Le pseudo et le titre du sujet disent "Elona", le reste de la fiche "Enola".

Ensuite, pour la fiche elle-même, je vais faire ça par section, ça sera plus simple pour tout le monde :

Description Physique :

- Pas la peine d'écrire au passé, déjà. Le présent fonctionne très bien ici, à moins que ça ne soit pas terminé, et que tu décrives ce à quoi elle ressemblait pour faire une comparaison avec son physique aujourd'hui.
ex :

Citation :: Son visage à la mâchoire carré voyait sa dureté atténuée par les tâches de rousseurs qui parsemait ses pommettes et son nez.

Ça peut sans problème devenir :

Citation :: Son visage à la mâchoire carrée voit sa dureté atténuée par les tâches de rousseur qui parsèment ses pommettes et son nez.

Dans de la rédaction plus "littéraire", le passé marcherait, mais là, c'est vraiment de la description pure, de l'état dans lequel elle est, te prends pas la tête.

- Peut-être étoffer un peu aussi. Une estimation de la taille (sans forcément rentrer dans les détails (ou plutôt dé-tailles ! (Ahah! Bref.)), par exemple, ou la couleur des yeux.

Description Psychologique :

- Y'a encore un problème de temps ici. La majorité est rédigée au présent, pour le coup, et au milieu, y'a ça :

Citation :: En effet, l'éducation traditionnelle que les filles de l'orphelinat recevait leur apprenais l’obéissance avant toute chose.

Pas besoin du passé ici non plus, franchement. Le reste est au présent, hop :

Citation :: En effet, l'éducation traditionnelle que les filles de l'orphelinat recevaient leur apprend l'obéissance avant tout chose.

Ou si tu veux tourner ça un peu mieux, pour garder le passé, peut-être :

Citation :: En effet, l'éducation traditionnelle reçue à l'orphelinat lui avait appris l'obéissance avant toute chose.

Ou, mieux :

Citation :: L'éducation traditionnelle reçue à l'orphelinat lui ayant appris l'obéissance avant toute autre chose.

Bon, après, ça c'est un peu de l'enculage de mouches. De toute façons, tu t'y feras à mesure d'écrire.

- Faut étoffer ici aussi, on a un passage intéressant sur son incapacité à prendre des décisions, et sur ses problèmes de socialisations avec les autres jeunes de l'orphelinat. Je suppose que ce n'est pas terminé non plus, mais il faudrait rajouter quelques trucs : Ses relations avec les personnes, hors de l'orphelinat ? Avec les gens d'Aedenais (puisque l'histoire du forum s'y déroule) ?

Histoire :

Là, on arrive sur le gros du sujet, alors on s'accroche, c'est parti :

- Je penses pas que l'histoire soit finie de rédiger, du moins d'après ce que tu m'avais déjà dit, mais, évidemment, faudra expliquer ce qu'il se passe entre ses années à l'orphelinat et son arrivée à Aedenais.

- Sans encore rentrer dans le lore, y'a un problème de "placement" temporel, dirons-nous. Quelle âge a-t-elle quand son père meurt ? Quand elle est envoyée à l'orphelinat ? Quand elle commence à envier les autres filles, à se rendre compte qu'elle trouvera pas de mari ? On a des marqueurs "ces dernières semaines", "dernièrement", mais dans ce cas là, le problème serait que "ça fait quelques semaines qu'elle se sent comme ça", hors le personnage est quand même censé au final, se trouver à Aedenais, ou du moins, en route pour Aedenais. Si tu veux amorcer une fugue, peut-être utiliser plutôt : "Ses dernières semaines à l'orphelinat (...)" et enchaîner sur la fugue.

Maintenant pour le lore lui-même.

- Les combats entre Yavon et Caelnittais/Azradethis sont pas non plus si fréquents que ça. Les frontières sont quand même relativement bien établies, y'a pas de tentatives d'invasion. Le premier pays qui ferait ça déclarerait une guerre ouverte, et aucun des deux camps en a vraiment envie/les moyens. Sans parler des retombées internationales, en particulier du côté de Caelnittais, ils fricotent déjà assez les Vampires pour se permettre de se mettre à dos les Loups-Garous et Aedenais à dos en déclarant une guerre ouverte contre une nation humaine. Et Yavon est beaucoup trop isolé pour déclarer la guerre et essayer de prendre des terres à Caelnittais ou Azradehis. Y'a des conflits, des attaques armées, mais ça se passe surtout dans des coins où les frontières sont un peu floues, et une attaque qui serait suffisante pour prendre un village ou repousser la frontière comme ça, aucun des deux camps se le permettrait.
Ce qui ne change pas le fait que son père ait très bien mourir dans une attaque, mais il faudrait modifier un peu ça. Ça peut très bien être qu'il était parti faire je-ne-sais-quoi dans les montagnes/dans un coin un peu reculé/dangereux, et il a été pris au milieu d'un combat, 'truc comme ça.
C'est pareil, un peu plus loin : "innombrables combats". Faut pas exagérer non plus, y'a des combats, mais c'est pas un conflit ouvert, y'a des combats, oui, mais pas non plus quotidiennement ^^ Y'a des patrouilles régulières, certes, mais les combats directs restent relativement peu nombreux.

- L'orphelinat... j'sais pas trop, y'a un truc qui me dérange un peu dans cette histoire d'élever les jeunes filles pour les marier et se marier, surtout à Yavon qui est un pays (très) développé, mais bon, un orphelinat privé, près de la frontière, qui fait son business un peu à l'écart, pourquoi pas, après tout. Ça passe.

Le reste après, j'ai pas vraiment grand chose à redire. Faudra juste faire un truc sur comment elle se tire de l'orphelinat et comment elle finit par atterrir à Aedenais.

Liens/Autres :

Bon, pour l'instant, y'a rien, mais même si elle connait personne à Aedenais, y'aura des trucs à mettre dedans, même des trucs très généraux :
- Où elle traine le plus souvent à Aedenais
- Les personnes dont elle a entendue parler, qui seraient à Aedenais, comme ça, y'en as quelques unes :
Dans les PJ Nouvelle Génération :
- Juliette Weyer, qui tient une boutique dans la Basse-Ville où elle vend divers trucs, de médicaments aux poisons, en passant par la réparation de pas mal d'objets divers, des montres aux moteurs de voitures... Et si tu gardes cette idée que ton personnage "travaille" en pillant un peu les zones de conflits, c'est chez Juliette qui faudrait aller pour faire réparer de l'équipement et le revendre à un meilleur prix.

Dans les NPC :
- Elamros Terry, au moins. C'est un incontournable, je pense, pour quelqu'un qui vient de Yavon. Aujourd'hui, c'est le Prince Consort des Nécromanciens, mais il avait quitté Aedenais à 16 ans et s'était engagé dans l'armée de Yavon. Il y a passé douze ans, dont 6 dans les Forces Spéciales, avant d'être déchargé après que son unité se soit faite tuer par des Vampires sur la frontière. Un ancien des forces armées du coin qui devient le co-dirigeant d'Aedenais, c'est assez pour qu'il soit relativement connu par là-bas ^^

Niveau personnages, c'est un peu tout ce que je vois pour l'instant, mais y'a sûrement moyen de trouver quelqu'un d'autre.

Dans cette section, tu peux aussi rajouter un truc sur ses relations amoureuses, si elle touche à l'alcool/drogues quelconques, etc.

Et on arrive à la fin, donc. Je laisserais donc la patronne regarder tout ça et te dire ce qui va/ne va pas. Je t'invite à regarder les autres fiches déjà postées, si ce n'est pas déjà fait, pour voir un peu ce que tu pourrais changer/rajouter pour la tienne :

Elamros : Aedenais, The Next Generation, Les Nouveaux Persos de la Boss et Samuel Anders : Next Gen.

Je reste, ofc, disponible sur skype si besoin.

Hellooo. ^^

J'ai parcouru un peu tout ça, à la fois ta fiche en l'état actuel et les corrections suggérées par Elamros. Il manque encore des petites choses et on s'interroge sur certains points.
Si tu passes par là, je t'invite à te connecter sur Skype pour pouvoir en discuter avec Gros-Vilain et moi-même.